Je suis arrivé au camping où je voulais aller. Mais 60 km (et plus d’un kilomètre de dénivelé) de montées et descentes c’était très éprouvant physiquement surtout avec cette chaleur. Mais je suis content d’avoir réussi et de me sentir en forme à l’arrivée. Je dois optimiser tous les paramètres du voyage, et c’est un jeu d’équilibre subtil qui me plaît.
Par contre entre la longue route, l’organisation et les longues discutions intéressantes avec mes voisins cyclotouristes, je n’ai pas eu de temps pour réfléchir à mon projet Lazi, et ça me manque.
Après la grosse première montée, le nord du Luxembourg.
Oh chic, je peux encore monter, j’y vais (belvédère) .
Vue du belvédère. Le lac est une batterie à eau, il y a un réservoir en bas, on fait monter l’eau quand on a trop d’énergie électrique et on fait descendre l’eau quand on veut récupérer de l’énergie électrique.
Je ne suis pas sujet au vertige, mais là quand même c’est flippant. D’autant plus que l’escalier oscille quand on monte un peu fort.
Parfois des pentes de très raide.
Bizarre, j’hésite entre la méthanisation, des radars ou un système de communication.
J’ai un peu le mal du pays, quand je vois un panneau orange et bleu je pense à mon département.
Un magasin qui ne vend que des boissons.
Grosse pause à midi avec un repas parfait. Mais ça c’est payé par quelques côtes supplémentaires à gravir.
Il y a très peu de fleurs dans la végétation du Nord. Ils les ont tout rassemblées ici ou quoi ?
Il y a des clichés qui vont avoir la frite pendant encore longtemps.
Je n’ai encore pas vu de panneau à la frontière, c’est en voyant une friterie que j’ai compris que j’étais arrivé en Belgique.
En Belgique, un paysage d’exploitation intensive de vaches et de bois de sapins. Les enfants du fermier joue sur le sol entièrement bétonné de la ferme géante.